Les spécialistes le savaient, même s’ils tentaient parfois de le minimiser : la guerre de Le Corbusier n’avait pas été exemplaire. Cinquante ans après sa disparition, voici que les informations sur son parcours politique se multiplient. Les deux livres publiés ces jours-ci, Un Corbusier, de François Chaslin, et Le Corbusier, un fascisme français, de Xavier de Jarcy révèlent l’ampleur de sa part d’ombre.

 

 

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Quelques semaines plus tard, il se réjouit du grand «nettoyage» qui se prépare : «L’argent, les Juifs (en partie responsables), la franc-maçonnerie, tout subira la loi juste. Ces forteresses honteuses seront démantelées. Elles dominaient tout.» Le ton de certaines lettres est plus nauséabond encore : «Nous sommes entre les mains d’un vainqueur et son attitude pourrait être écrasante. Si le marché est sincère, Hitler peut couronner sa vie par une œuvre grandiose : l’aménagement de l’Europe.»(....)

 

 

 

Que esperar dum tipo que dizia: '' l’animal humain est comme l’abeille, un constructeur de cellules géométriques''?

 

Também podia ser um simples oportunista, se a sua obra não estivesse recheada de expressões racistas e de elogios ao Duce, porque se prontificou a servir Staline, que não lhe respondeu.

 

Os que amam a obra do Licenciado Carrilho da Graça deviam ler, de Le Corbusier,: '' l’Urbanisme de la Révolution nationale''.

 

MN

 

Textos entre aspas de Benoît PEETERS